Quand j’étais petit, j’ai très tôt pris conscience que le monde des adultes ne me convenait pas. Il s’imposaient des règles qui les faisait souffrir et se contentaient d’un « c’est normal », tout le monde pense ceci, fait cela, …

Et puis, j’ai du m’adapter à tout ça car mes besoins vitaux dépendaient d’eux et on me disait que si j’obéis pas alors on me rejetterait et que personne d’autre qu’eux pourra m’aider.
Ce qui me faisait avancer c’était l’espoir qu’un jour je serais grand et je pourrais penser, faire ce que je veux, c’est à dire ce qui est bon pour moi.

Et puis j’ai eu 18ans, l’âge où la société nous autorise à être libre, permettant de se libérer du groupe initial dans lequel on grandit.

Enfin pas complètement libre, car tout tourne autour de l’argent et on m’a appris qu’il en faut pour subvenir seul à ses besoins. Alors, j’ai du continuer de m’adapter afin d’en gagner. Et au fil des années, j’ai compris que ce n’est pas l’argent, ce sont les croyances qui se cachent derrière qui m’empêchaient d’être libre : les jeux de pouvoirs.

En réalité, les jeux de pouvoirs sont fondés sur la peur de manquer, la peur de ne plus subvenir à nos besoins. Puis, j’ai appris à poser un autre regard sur cela, quand on revient aux origines de l’argent, c’est un moyen de valoriser nos qualités humaines et notre savoir-faire.

J’ai pris conscience des mes talents naturels, mes compétences et aussi à écouter mes besoins et ceux des autres. Car au final c’est à cela que sert l’argent : valoriser ce que l’autre a et qui répond à nos besoins.

J’ai appris cela au travers de visionnages, de conférences, de lectures, intégrés par des exercices d’auto hypnose, de méditation et aussi grâce à l’aide de mes coachs et de l’école EAR !

C’est cela le coaching intégratif et systémique : un coaching sur mesure et orienté solution, se pratiquant dans l’instant et apportant la bonne chose au bon endroit au bon moment (et à la bonne personne dans le cas d’un coaching collectif).